Une franchise immobilière rassemble de nombreuses agences sous une enseigne unique. Elles sont soumises à des conditions particulières établies par le franchiseur. D’ailleurs, pour rejoindre ce dernier, elles signent un contrat de collaboration qui sert d’accord juridique et commercial. Ainsi, on peut dire que la relation entre le franchiseur et le franchisé est un partenariat.
Les types de franchise immobilière
Plusieurs franchises enrichissent le secteur immobilier. Certaines enseignes regroupent des agences traditionnelles. Celles-ci ont un local commercial et proposent des services immobiliers tels que la transaction, la location des biens et la gestion des opérations. On peut aussi retrouver les réseaux collaboratifs dont les membres sont sociétaires et participent aux prises de décision de la franchise. Les agences 2.0 prennent considérablement de la place. Contrairement aux autres enseignes, celles qui mêlent ces types de franchise sont uniquement présentes en ligne. Puisqu’elles n’ont pas d’emplacements physiques, elles proposent des prix réduits. D’un autre côté, on note les réseaux de mandataires qui travaillent sous couvert du responsable principal du réseau. Dans ce cas, les mandataires n’ont pas besoin d’une carte professionnelle individuelle pour exercer. Par ailleurs, vous retrouverez toutes vos informations sur ce site.
Les principaux avantages de la franchise
La franchise offre aux agences franchisées un suivi, une formation et des instruments logistiques pour son développement. Elles ont le droit d’utiliser la marque du franchiseur, d’accéder à son savoir-faire et de profiter de sa notoriété. De plus, elle intervient dans la promotion de leur point de vente par des supports marketings et des moyens de communication variés. Elle peut mettre une centrale d’achat ou un personnel formé à leur disposition. Elles peuvent alors rentabiliser rapidement leur portefeuille si la franchise a une excellente réputation. Les formations qu’elles suivent leur permettent de se maintenir à jour sur les évolutions législatives et d’exploiter efficacement les logiciels de gestion locative par exemple.